Porté par l’amour de la poésie, Maxime Vincent a toujours aimé, pour partager ses mots, utiliser des phrases cadencées, scandées avec la contrainte des règles de la poésie classique et une rime au bout.
Écrire un texte rimé n’enlève pas de la puissance à la poésie et n’édulcore pas ses idées. Les manifestants, dans les rues, pour donner plus de force à leurs slogans, les font rimer. Et surtout, capacité singulière de la poésie, elle nous aide à fendre l’armure, à aller retrouver, au plus profond, des émotions enfouies pour, à notre tour, suivre le poète dans un merveilleux envol.
« La rime est le meilleur des tambours. », J. Giraudoux dans La Guerre de Troie n’aura pas lieu.